Ok avant cette charmante histoire, petit retour en arrière. Cette semaine je suis dans mon grand loin. Et, avec deux amis, j'ai décidé d'aller me délecter d'un charmant repas dans un petit restaurant que d'ailleur je recommande (L'Os à Moelle à Ambert (63)).
22H00, alors que le tiramisu était en train de se prendre un sacré raclée, des djeuns rebelles (ouaich) se mettent à faire rodéo autour de ma tuture (qui était garée sur un terre plein).
Notez bien qu'il y avait ma tuture ET celle d'un autre client ... probablement un être particulièrement important .... mwouahahahahahah (cherchez pas à comprendre ^^).
22H10:
- Allô gendarmerie d'Ambert ? Oui ici le président de ... je suis l'homme important du dessus. il y a des
COMMENT QUE QUEA ???? Mais que ui vous zallez vous bouger votre
- (attention libre adaptation de paroles non entendues puisque étant dans un téléphone <== comprend qui veut) Bien Monsieur. Tout de suite Monsieur. On arrive Monsieur
- A tout de suite mes amis, rétorqua avec une fierté non dissimulée l'important guy.
A ce moment, je suis bien content, ça m'évite de les appeler :p.
A la gendarmerie: 1 seconde après avoir raccroché (saar) Allélélélélélélélélél on se bouge là dedans
3 saar je veux 10 hommes, M16 grenades, fusils à pompes
10 saar préparer la subaru
11 saar on monte
15 saar on est parti
16 saar on arrive
Non en fait non, ça n'a pas du se passer comme ça à la gendarmerie, mais plutôt: "on a reçu un coup de fil ? Non hein ?"
Et là quand même, avant la chute, un petit repérage géographique me parait vital: la gendarmerie est à 500 m, en gros en haut du boulevard où on se situe, et donc, en ligne droite.
22H40: arrivée des policemen. Bien sûr, les jeunes rebelles étaient déjà parti depuis belle lurette.
A ça valait bien le coup qu'ils doublent les effectifs tiens.
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